Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

perception violence

L’OVEO publie les premiers résultats de son étude menée sur la prise de conscience de la violence éducative ordinaire

Afin d’améliorer la connaissance de la violence éducative ordinaire (VEO) et de mieux comprendre le processus qui amène à en prendre conscience, l’Observatoire de la violence éducative ordinaire (OVEO) a mené en 2017 une enquête auprès d’un public sensibilisé à la question. En 5 mois, plus de 2 000 personnes ont accepté de répondre à un questionnaire […]

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