Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

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Addictions et confinement : … et si c’était le moment ?

Par Catherine Barret, membre de l’OVEO Lire en fin d’article le post-scriptum du 10 mai 2020. Ce vendredi 24 avril 2020, dans l’émission Le Virus au carré consacrée à « la gestion des addictions en temps de confinement et d’épidémie », le psychiatre et addictologue Jean-Michel Delile répondait à des questions et des témoignages d’auditeurs de […]

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Les « châtiments corporels légers » accroissent le risque de troubles mentaux

Le 2 juillet 2012 ont paru dans la revue Pediatrics les résultats d’une importante étude sur les effets des punitions corporelles. Cette étude, menée aux Etats-Unis auprès de 34 653 adultes âgés de 20 ans et plus par une équipe de chercheurs canadiens, a porté uniquement sur les fessées et châtiments corporels légers. Les sévices […]

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