Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

VEO et éducation

A propos des limites

Par Olivier Rolland, membre de l’OVEO Je me rappelle que mon entourage disait de moi que je n’avais « pas de limites ». Or, ce n’est pas faute d’avoir reçu des claques et des sermons pour ne pas faire ceci ou ne pas dire cela, justement pour me donner ces prétendues limites. En y réfléchissant, […]

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L’enfant-roi, les limites, l’autorité et la discipline

Par Cris, membre de l’OVEO Quand on parle d’« enfant roi »1, et qui plus est d’enfant tyran, on veut dire que l’enfant en question fait ce qui lui plaît sans aucune contrainte. Et par là, qu’il suit son seul intérêt, sans se préoccuper de celui des autres. Il deviendrait égoïste, amoral, éventuellement déplaisant, voire […]

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Existe-t-il une « pédagogie blanche » ?

Ce chapitre du livre d’Alice Miller C’est pour ton bien. Racines de la violence dans l’éducation de l’enfant (Aubier, 1984, trad. Jeanne Etoré, pp. 113-123) est situé à la fin de la 1ère partie. Cette partie, consacrée à la « pédagogie noire » (d’après l’ouvrage de Katharina Rutschky, Schwarze Pädagogik, Ullstein, Berlin, 1977), cite longuement […]

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