Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

Journées d’études sur la violence éducative au Maroc

21 octobre 2014 1 877 vues Imprimer Imprimer

Participation d'Olivier Maurel et de Catherine Gueguen à deux journées d'études sur la violence éducative à Rabat (Maroc) les 14 et 15 mai 2015, à l'invitation de l'ATFALE (Alliance de Travail dans la Formation et l'Action pour l'Enfance). Olivier Maurel sous forme d'une vidéo sur le sujet "La violence éducative ordinaire et ses effets sur le comportement des enfants et des adultes", Catherine Gueguen par un exposé sur "Les conséquences de la violence ordinaire sur le cerveau de l'enfant". Cornélia Gauthier, membre du comité de parrainage de l'OVEO, devait également intervenir sur "Les conséquences comportementales de la violence éducative ordinaire".
Lire l'article sur le site allAfrica.
Lire le texte de la conférence d'Olivier Maurel.